Tu es la ténébreuse, si vite consolée
D’un mari absent, toujours parti en guerre ;
Ton château, du haut de sa colline désolée
Abrite des âmes enlevées de leur terre.
Pour préserver ta beauté et ta jeunesse,
Tu t’adonnes à de coupables activités ;
Aristocrate vampire et damnée comtesse,
Tel sera ton épitaphe pour l’éternité !
Ton pâle visage, sous l’effet du nectar vermeil,
Renaît sur la souffrance de malheureuses
Exsangues et vouées à un supplice sans pareil.
Tu te délectes de tortures audacieuses
Qui finissent pour ton plaisir en bain de sang.
Que de cruauté pour une femme de ton rang !
D’un mari absent, toujours parti en guerre ;
Ton château, du haut de sa colline désolée
Abrite des âmes enlevées de leur terre.
Pour préserver ta beauté et ta jeunesse,
Tu t’adonnes à de coupables activités ;
Aristocrate vampire et damnée comtesse,
Tel sera ton épitaphe pour l’éternité !
Ton pâle visage, sous l’effet du nectar vermeil,
Renaît sur la souffrance de malheureuses
Exsangues et vouées à un supplice sans pareil.
Tu te délectes de tortures audacieuses
Qui finissent pour ton plaisir en bain de sang.
Que de cruauté pour une femme de ton rang !
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